jeudi 29 novembre 2012

Dimanche 25 novembre 2012

La Rochelle...avec
  1. Son Marathon
  2. Son Duo
  3. Son 10 klm
17 coureurs et coureuses répartis sur les 3 courses

MARATHON
Bruno GUIGNARD     3h34'
Michel THOUVENIN 3h36'
Guy BRIONNE           3h38' , pour son premier marathon
Véronique JARRY       4h15'
Carole DOUCET         4h15' pour son premier marathon

Marie-Pierre, Pierre et Jean-Luc, incidents de courses.

Duo
Zabou, Thierry, Pascale, Guanaélle, Patrick, Bruno S, se sont fait plaisir sur leurs distances respectives

10 klm
Claudine, Gérald, Salim,Philippe ont appréciés ce 10 klm

Sans oublier François, Jacqueline, Geneviéve, Fréderic, Monique, Patrick qui sont rentrés de la Rochelle avec un mal à la gorge et un torticolis à force d'encourager leurs favoris.

Article écrit par Alain

Et moi (Valou), je rajoute ton nom Alain car tu étais présent toi aussi , toujours là, toujours avec tes conseils et encouragements.
....sans toi ....rien ne serai possible...PAS VRAI LES GALOPINS ET GALOPINES ?!!!

vendredi 23 novembre 2012

Lettre à Monsieur Le "Coach"

Coucou Alain,
J'ai eu mon contrôle d'endurance au lycée et j'ai eu 20/20.
Merci à toi de m'avoir si bien entraîné.
Mathilde.

mercredi 21 novembre 2012

Courses du dimanche 18 novembre

Les foulées douces à Montamisé :
4 Galopins engagés sur le 10km : Gérard (Aulet), Patrice, Frédéric et Nicolas ont fièrement défendu les couleurs du club et ont surtout apprécié ce trail très nature ainsi que le verre de vin chaud à l'arrivée...

Cross Danièl Hébert à Châtellerault :
Félicitations à Thierry Rousseau pour sa place de leader ainsi qu'aux trois autres participants, Franck (Gerbaud), Stéphane et Valérie (Barbot). Terrain un peu "gras" mais cross fort sympathique.
Avis aux amateurs pour l'année prochaine.

vendredi 16 novembre 2012

Renforcement musculaire du Lundi et du Jeudi


Il reste de la place pour la Préparation Physique Générale le lundi de 18h00 à 19h30 école primaire d’Antoigné et le jeudi de 18h00 à 19h00 école maternelle d’Antoigné.

Fessiers, abdos, « rideaux de belle mère », cuisses, mollets, tous les muscles sont mis à l’épreuve chaque semaine. C’est dur parfois mais avec une bonne ambiance et le sourire la difficulté est moindre. Il y a même des jeux de ballons parfois.

dimanche 4 novembre 2012

Marathon de Venise

Le Pont des Soupirs portait bien son nom ce jour-là... Que de pluie, de vent et de froid, Laurence et Sophie ont dû affronter avant de pouvoir enfin franchir la ligne d'arrivée !!! Mais malgré tout elles ont accompli leur rêve et peuvent ainsi rentrer chez nous la tête haute en chantant : "laisses les gondoles à Venise..."
Cher Tonton, voici deux photos de la famille.


samedi 3 novembre 2012

Mon cher neveu, petit galopin,


Merci de ta longue lettre pour me raconter ton voyage au pays basque, avec tes tantes et oncles de la famille des Galopins.

Je constate que tu as vu une jolie région ou parfois le temps est aussi « pourri » que chez nous.

Tes tantes et oncles étaient décidés à faire le semi-marathon mais vois-tu certaines blessures récurantes ou de conseils avisés médicaux ont eu raison de leur projet. Ce n’est que parti remise pour eux j’en suis sur. Bravo à tes 3 oncles Alain, Patrick et Jean-Marc qui ont fort bien réussi leur course.

Je constate aussi que le soir ils t’ont sorti au restaurant. Tu n’as pas eu droit de tirer la biroute et boire du vin de pomme. A ton âge tu aurais pu goûter. Tes tantes ne seraient pas à l’origine de ce refus ? Tonton François, très curieux de connaître fera le déplacement et tu pourras y revenir avec lui.

Je te félicite pour ta lettre, tu as très bien raconté ton séjour. Je remercie bien sincèrement l’Education Nationale qui pendant ces années a su te donner une écriture forte agréable à lire.

A bientôt

Tonton François

vendredi 2 novembre 2012


Cher tonton François,

Je t’écris cette lettre pour te raconter notre dernier week–end. Tu sais combien tonton Alain et tata Jacqueline aiment le pays basque. Nous sommes allés les rejoindre samedi dernier. Je suis parti avec tonton Georges, tata Jocelyne et tonton j.marc. On est arrivé dans une ville qui s’appelle Saint–Jean–de –Luz. C’est comme Châtellerault, sauf que c’est plus beau et qu’il y a la mer. Nous y avons retrouvé tonton Patrick. Tu vois que la famille Galopins était bien représentée.
Le samedi, il faisait pas beau. Pourtant tonton Alain nous a dit qu’avant il avait fait chaud. Il a dit que c’était l’été indien. Je sais pas pourquoi il a dit ça car moi, j’ai pas vu d’indiens. Mais tu sais, tonton François, je comprends pas toujours ce que disent les grands.
Le lendemain, dimanche, le soleil était revenu. Tonton Georges, tata Jacqueline et tata Jocelyne, ils ont pris leur voiture pour aller dans une ville qui s’appelle Hondarribia. C’est une ville comme Châtellerault sauf qu’on comprend rien quand les gens parlent. 
 Tonton Alain, tonton Patrick, et tonton Marc, ont décidé de les rejoindre mais à pied et même en courant. Moi, j’ai cru que c’était parce qu’ils avaient pas assez de sous pour acheter de l’essence. Mais c’est sûrement pas pour ça  parce qu’ils avaient payé pour avoir le droit d’y aller en courant. Ils appellent ça un semi–marathon. Tu sais, les grands sont parfois bizarres.
Plus tard ils sont arrivés tous les trois à Hondarribia. Tonton Georges a pris des photos. Ils avaient l’air très contents tous les trois. Ils ont même pas vômi. Ils ont dit que le parcours était magnifique, qu’ils avaient longé la mer, traversé Hendaye, Irun. Après je me suis demandé s’ils allaient repartir à St Jean–de –Luz à pied. Mais non, un monsieur avec un grand car bleu nous a reconduits à St Jean–de –Luz. Même que c’était gratuit ! Tu sais, tonton François, j’ai vraiment de la peine à comprendre les grands. Ils payent pour avoir le droit de courir et ils prennent le car gratuitement.
Le soir de la course, tonton Georges nous a tous emmenés dans un drôle d’endroit, à Ascain. C’est comme un grand restaurant, avec de grandes tables en bois. Les gens s’assoient les uns à côté des autres, comme à la cantine de mon école. On a  bien mangé. Mais il s’est passé une drôle de chose. Le directeur du restaurant  a crié quelque chose comme « Tchoch ». Alors les gens se lèvent, prennent leur verre et vont se mettre en file indienne devant de très gros tonneaux. Moi, j’ai pas eu le droit d’y aller parce que je suis trop petit. Mais je les ai vus derrière la vitre. Tonton Georges, qui a l’air de bien connaître l’endroit, m’a expliqué que, quand le patron dit « Tchoch », il faut aller tirer la biroute. Je ne sais pas trop ce que c’est. Il m’a dit aussi qu’il faut être adroit parce que la biroute envoie un jet à presque un mètre. En tout cas, quand les grands reviennent, ils ont leur verre  presque rempli et ils ont tous le sourire. Ils m’ont dit que c’était du vin de pomme. Je me demande bien pourquoi j’ai pas eu le droit d’en boire parce qu’à la maison, j’en bois du Champomy.  Durant toute la soirée, toutes les 15 minutes, les grands se sont levés pour aller tirer la biroute. Il faudra que tu m’expliques ce que c’est, quand on se verra.
A la fin , on s’est tous dit au revoir. J’ai compris qu’ils parlaient du retour à Châtellerault. Moi, j’étais un peu triste car j’aurais bien aimé que les vacances continuent. Mais, tonton François, je t’assure que nous avons tous passé un bon week–end.
A bientôt.
Un petit galopin.

NB : Dis, tonton François, tu crois qu’un jour, je pourrai aller, moi aussi, tirer la biroute ?